Amir 
La femme a écrit dans un désarroi évident qu’elle se répétait. Se sentait déprimé. Brouillard cérébral. Admis à la pensée suicidaire occasionnelle. Elle était terrifiée à l’idée de contracter la maladie d’Alzheimer. À ce stade, elle s’engage dans un processus de test long, peut-être douloureux et déroutant, dans une grande université.
Que se passe-t-il? Ne ressentons-nous pas tous cela certains jours ? Ben oui et non. Considérons les possibilités.
La maladie d’Alzheimer est-elle le seul problème possible ?
Les médicaments en vente libre et couramment prescrits peuvent provoquer un brouillard cérébral, des étourdissements et notre ennemi ultime : les chutes. C’est une très bonne idée de rechercher toutes les pilules que vous prenez pour voir si l’une d’entre elles – en particulier en combinaison avec d’autres – peut causer ce qui vous fait mal.
Les blessures à la tête peuvent avoir un effet plus tard dans la vie ?
Posez-vous cette question difficile : me suis-je cogné la tête au cours de ma vie ? Et si oui, combien de fois, et avec quelle gravité ?
Cela aurait pu être à tout moment, d’une chute d’enfant à un incident d’équitation, en passant par une chute récente dans la salle de bain. Chaque fois que vous cassez votre noix de coco, vous pouvez être candidat au syndrome post-commotionnel.
Bien que je trouve les conseils de la clinique Mayo insuffisants, il est important de reconnaître toutes les blessures à la tête, car elles sont cumulatives.
Les symptômes du SSPT, de la dépression et de l’anxiété peuvent s’aggraver ?
À mesure que nous vieillissons, et en particulier si nous souffrons également de SSPT ou de dépression/d’anxiété, certains de ces symptômes peuvent s’aggraver. Vous avez une foule de bons choix : soyez actif, bougez, socialisez, mangez mieux et bougez bougez bougez bougez.
Plus vous apportez d’oxygène à votre cerveau via de meilleures habitudes, mieux c’est. Plus vous prenez de pilules pour vos symptômes, plus votre état s’aggravera, si pour aucune autre raison que ces mêmes pilules peuvent causer des étourdissements, de la désorientation et de la dépression. Quand tout le reste échoue, remettez en question les médicaments. Remettez toujours en question les médicaments.
Ne supposez jamais que ce que vous ressentez est une partie naturelle du vieillissement.
Il y a trop d’excellents exemples de personnes extrêmement saines dans les années 80 et 90 qui ne présentent aucun de ces mêmes symptômes. Parmi les raisons : faire de l’exercice régulièrement, manger quotidiennement beaucoup de légumes verts sains et être entouré d’un système de soutien social riche et gratifiant.
Augmentez votre consommation d’oxygène.
L’augmentation de l’apport en oxygène est liée à une meilleure respiration, à plus d’exercice et à une meilleure nutrition afin que votre système circulatoire fonctionne plus efficacement.
Si vos symptômes sont graves, trouvez un moyen d’augmenter votre apport en oxygène grâce à un système d’oxygénation. Ils sont de plus en plus disponibles. Vous voudrez peut-être en acheter un ou vous rendre dans un bureau où ils sont disponibles, sous surveillance. À ce stade, ils sont plus accessibles par les chiropraticiens, la médecine sportive et les cliniques de guérison holistique.
